Lu dans Furie de Myriam Vincent (Montréal, Les éditions Poètes de brousse, 2020) :
« Je me suis dit que je pourrais faire ça, une
fois mes études terminées, avec tout le temps libre que mon métier me laisse :
écrire des livres. C’est généralement ce que ça prend, après tout pour devenir auteur
ou autrice : une vie privilégiée qui nous laisse amplement de temps et d’argent
pour nous consacrer à l’écriture, vu que c’est pas grâce à notre art qu’on va
payer notre épicerie. » (p. 62)
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