Lu aussi dans Furie
de Myriam Vincent (Montréal, Les éditions Poètes de brousse, 2020) :
« J’ai jamais compris ces auteurs et autrices, nombreux, qui décrivent des émotions dans les yeux des gens – des yeux remplis de tristesse, d’émerveillement, d’horreur, de gêne, name it. On peut lire des émotions dans les visages, d’accord, mais dans les yeux ? Moi j’y suis jamais arrivée. Me semble qu’on peut projeter ce qu’on veut dans les globes oculaires de nos interlocuteurs. Personnellement, j’y vois rien. » (p. 117)
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