Si c’était à refaire


Lu dans Soif de Amélie Nothomb (Paris, Albin Michel, 2019) :

« Sur leur lit d’agonie, les mourants disent souvent : ‘’Si c’était à refaire…’’ – et ils précisent alors ce qu’ils referaient ou ce qu’ils modifieraient. Cela prouve qu’ils sont encore vivants. Quand on est mort, on n’éprouve ni approbation ni regret par rapport à ses agissements ou ses abstentions. On voit sa vie comme une œuvre d’art » (p. 120)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire